Nous revoici à Tokyo pour la toute dernière nuit de notre séjour.
Après un passage à Tokyu Hands, temple démesuré de la consommation, mais endroit absolument génial rempli de babioles et objets technologiques en tous genres, dont la plupart avec une utilité relative, nous décidons de nous offrir une dernière soirée gastronomique.
Nous testerons la cuisine kikunoi, au restaurant Akasaka, multitude de petits plats servis par 2, 3 ou 4 sur un plateau, en 11 services. Il faut avoir faim !
Une découverte intéressante, l’abalone (en français c’est l’ormeau je crois), une sorte de mollusque de mer énorme, mélange entre un bulot et une moule, mais de la taille d’un demi steak. Très prisé au Japon et considéré comme un met délicat, nos palais occidentaux ont du mal à s’y faire, surtout que chaque bouchée se mastique longuement avant déglutition… à goûter donc, mais avec parcimonie.
Nous repartons très vite, pour 12 heures de vol direction Paris avec cette mélancolie de fin de vacances, mais conscients aussi de cette chance d’avoir vécu de si beaux moments.
Ce voyage aura été extraordinaire, Japon comme Fidji, et nous donne déjà envie de planifier nos prochaines destinations.
En tout cas, le Japon aura été une découverte fabuleuse pour sa gastronomie bien sûr, mais surtout pour son histoire, ses coutumes, ses traditions, son sens du service, pour les japonais adorables et chaleureux, et pour la nature sauvage qui bordent des mégalopoles aux mille curiosités.
Un pays d’où l’on repart presque frustrés de ne pas en avoir vu davantage, et où nous reviendrons un jour très certainement pour la suite 😉
À bientôt pour d’autres aventures, et merci de suivre notre blog !
Sayonara !
PS : mention spéciale pour les mochi glacés à la vanille à 0,80€ qu’on aura mangés par dizaine en réfléchissant à une manière de les importer en France (ils n’ont pas le même goût, désolée 🤷🏼♀️)